Ordre supérieur des Sui-Juris

La position privilégiée des Hommes Sui Juris

Dans un contexte où les institutions juridiques et judiciaires telles que le Conseil de la magistrature et l'Ordre des avocats sont de facto et ne respectent pas les principes de l'État de droit, il est important de souligner la position privilégiée des Hommes Sui Juris, c'est-à-dire ceux qui connaissent et saisissent leurs droits fondamentaux, pour défendre leur dignité.

Les Hommes Sui Juris possèdent une conscience juridique suffisante pour naviguer dans un système juridique complexe et remettre en question la légitimité des autorités de facto. Cette connaissance et cette compréhension du droit leur permettent d'agir en tant qu'autorités légitimes pour défendre leurs propres droits, en l'absence d'autres autorités légitimes.

Pour mettre en évidence la position supérieure des Hommes Sui Juris par rapport aux juridictions de facto, on peut évoquer les éléments suivants :

En résumé, les Hommes Sui Juris, en tant que détenteurs de droits fondamentaux et sachant quel sont leurs droits, possèdent une position privilégiée pour défendre leur dignité face aux juridictions de facto. En agissant en conformité avec les principes de l'État de droit et en remettant en question la légitimité des autorités de facto, ils peuvent revendiquer et exercer leur propre autorité légitime pour protéger et défendre leurs droits.

La primauté du droit, l'équité, l'impartialité et la confiance sont des principes fondamentaux prioritaires qui assurent la stabilité et la légitimité d'un système juridique et politique. Ensemble, ils garantissent la protection des droits et des libertés des Hommes.

Les agents publics sont des serviteurs du peuple, et chaque individu de ce peuple peut constater la nécéssité de corriger un employé en service qui est dans l'erreur volontaire.

L'objectif de cet ordre est de sanctionner le non-respect volontaire des conventions du contrat "sociale" (D.-D.-H.-C de 1789) qu'il y a entre les agents et servants publics et le peuple Français.

Commettre des erreurs est une chose, les faire de manière volontaire et refuser de les constater et de les réparer en est une autre.